Paris. Les Nouvelles Editions Africaines.
Editions de l'Ecole de Hautes Etudes en Sciences Sociales. 1975. 306 p.
Sadru |
Bindi |
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Traduction
Strophe |
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Notes
205. La tradition rapporte que Yeyya, fille d'un des premiers auxiliaires de Cheikou Amadou, ayant écouté le poème sans y trouver aucune allusion à son père, s'en plaignit à l'auteur. Celui-ci, pour réparer son omission, composa sur-le-champ les trois strophes, 52, 53 et 54. Celles-ci sont nettement inférieures au reste du poème, l'auteur n'ayant pas trouvé les rimes.
208. Rerra mis pour reenira.
209. Il s'agit du père de Yeyya ; Comci désigne les vêtements en général, mais ici il faut entendre bandes de coton.
210. Le taureau symbolise la force physique ou morale. Ici, il doit s'agir de force ou de grandeur morale.
212. Kam mis pour ko am.
216. Il s'agit du secours apporté à Cheikou Amadou par les prières faites durant la nuit qui précéda la bataille de Noukouzna.